Marie-France Lorho a interrogé le ministre des Solidarités et de la santé sur le statut des infirmières puéricultrices.
» Les infirmières puéricultrices sont de moins en moins sollicitées au sein des services hospitaliers et territoriaux pour des raisons essentiellement budgétaires. Augmenter leur effectif dans les unités de soins de néonatologie permettrait largement de répondre à la demande de la Société Française de Néonatologie, qui aspire à employer davantage d’infirmières spécialisées dans ce secteur », a souligné le député de Vaucluse.
» Avec 21 000 infirmières puéricultrices, les professionnels de ce secteur aspirent à une légitime reconnaissance, au même titre que les autres membres de ce domaine de l’enfance. En ce sens, l’Association Nationale des Puéricultrices Diplômées et des Etudiants ont formulé des propositions à l’occasion de leurs auditions au sein de la commission des mille premiers jours de l’enfant. »
Retrouvez la lettre ouverte de Marie-France LORHO à Olivier VERAN.